Le groupe The Gift (composé de 4 éléments) a obtenu un très grand succès en 2009 lorsqu’ils ont décidé de créer le spectacle appelé Amália Hoje (Amália aujourd'hui).
Ce travail rassemble une série de fadosd’Amália Rodrigues repris par le groupe et adaptés à de nouvelles tonalités.
L'album fut lancé en 2009, l’année où l’on commémore le 10e anniversaire de la mort de d’Amália, la chanteuse considérée la reine du fado, la grande ambassadrice du Portugal, décédée en 1999.
Sónia Tavares la chanteuse du groupe, est particulièrement mise en valeur dans le clip. Elle interprete la chanson A Gaivota avec sa belle voix et de forme très touchante.
J’ai préparé une traduction libre de la chanson A Gaivota et j’espère qu’il vous plaira de suivre la vidéo publiée sur Youtube dont voici le lien :
Le Mosteiro dos Jerónimos (Monastère des Hiéronymites) est un des monuments les plus visités de Lisbonne. Situé dans la partie ouest de Lisbonne, sa longue façade côté sud a vue sur le fleuve Taje. Ses jardins servent de décor pour de nombreuses promenades.
Le célèbre monument a été déclaré patrimoine mondial par l’Unesco en 1983. Le début de sa construction, en 1501, est lié à un fait historique de première importance pour le Portugal. C’est le roi Dom Manuel 1er qui a commandé les travaux de cet énorme ouvrage dont la construction a duré un siècle.
A l’endroit où a été construit le monastère, existait la petite église de Sainte Marie deBelém où le navigateur portugais Vasco daGama et ses marins ont assisté à une messe et ontprié pour le succès de leur voyage avant de quitter le port de Lisbonne le 8juillet 1497. Ce même voyage permit à Vasco de Gama de découvrir le chemin maritime de l’Inde et d’arriver à Calicut le 20mai 1498, en contournant le continent africain.
Après ces expéditions et contacts commerciaux en Afrique orientale et en Inde, il repartit pour le Portugal le 29 août 1498 où il n’arriva qu’en juillet 1499. Ce fut un long etpérilleux voyage. Des 148 hommes qui partirent avec Vasco da Gama en 1497, seulement 55 ont survécu et sont rentrés à Lisbonne.
Ce voyage a permis au roi portugais d’obtenir le monopole du commerce des épices de l’orient et d’occuper de nombreuses terres et comptoirs en Afrique et en Asie.
Il parait normal que le roi ait pensé qu’il fallait partager un peu le bénéfice du commerce desépices et des richesses de la nouvelle voie maritime. Le monastère des Jerónimos a été construit pour remercier la Sainte Vierge. On a fait appel aux meilleurs architectes et aux meilleurs artisans. À l'intérieur de l'église, on a l'impression qu'il n'y a pas un centrimètre de pierre qui ne soit travaillé.
Outre les logements des moines Hiéronymites, le monastère est composé essentiellement de l’Eglise Sainte Marie de Belém où les pierres sont sculptées comme de la dentelle, et de son cloître à l’impressionnante architecture. Le corps de Vasco de Gama repose dans ce chef d’œuvre de l’art manuélin (une des 7 merveilles du Portugal).
Voici le lien d'une jolie présentation du monument, avec l'Ave Maria chanté par la chanteuse du groupe musical portugais Madredeus:
Dans l’actualité, en décembre de 2007, le cloître du Monastère dos Jerónimos a été aménagé de façon a recevoir une grande cérémonie. Une toiture provisoire a été installée pour prévenir les intempéries.
C’est dans le cloître du Monastere des Jerónimos que le Traité de Lisbonne a été signé par les dirigeants européens le 13 Décembre 2007.
Je vous invite à regarder quelques images de cette cérémonie de l'Europe (merci encore à l’auteur de la publication)
À la fin de l‘été on les croirait morts ! Ce sont les rameaux de l’amandier qui, desséchés par les fortes chaleurs, et ayant perdu toutes leurs feuilles, hibernent, semblables à des brindilles d’où toute vie a disparu.
Mais voilà qu’en plein hiver, après les pluies de la saison, les bois morts reviennent à la vie. De tout petits bourgeons commencent par faire gonfler l’écorce des branches noircies, et en deux ou trois semaines ils sont prêts à éclore.
Encore un peu, et très vite, dès le début janvier, apparaissent quelques fleurs sur les amandiers de l’Algarve. Les premiers à fleurir semblent être les arbres à fleurs rose. Mais les autres suivent de près, et ce sont des cascades de blancheur qui déferlent dans les champs.
L’amandier est un arbre dit-on originaire d’Asie, qui se cultive très bien dans les pays du pourtour de la Méditerranée. Il lui faut un temps chaud, il craint le froid, et les sols humides. Les sols légers lui sont favorables et il est parfaitement adapté à la sécheresse de l’été. Par contre il ne supporte pas le vent fort, car les pétales trop fragiles, s’envolent à la moindre bourrasque, mettant en péril la prochaine récolte d’amandes.
En Algarve, la culture de l’amandier serait deux fois millénaire, et on trouve ces arbres dispersés par toutes les collines des campagnes de cette province du sud.
Ils voisinent essentiellement avec les oliviers, figuiers et caroubiers. Et leurs feuilles n'apparaitront qu'après les fleurs.
Des milliers de visiteurs viennent tous les ans en Algarve pour admirer le spectacle de ces fleurs délicates qui recouvrent la région de magie.
Por receio de quem espia Ce poème est un des plus connus de Al-Mu Tamid
Cheio de inveja a roer car il figure dans les Mille et Une Nuits
Não veio naquele dia, (nuits 180 e 866)
P’ra assim traída não ser j'essaie de vous donner une bonne traduction (libre),
P’la luz que no rosto esplende, en espérant que vous aimerez ce doux poème
P’las jóias a tilintar, d'il y a presque mil ans.
E pelo perfume do âmbar
A que o corpo lhe rescende:
É que ao rosto, com o manto, Al-Mu Tamid (1040-1095) est considéré un
Tapá-lo ainda poderia, des plus grands poètes de son temps.
E as jóias, entretanto,
Facilmente as tiraria Né à Beja, ville de l'Alentejo (la région
Mas a fragrância do encanto au nord de l'Algarve), Al-Mu Tamid est devenu
P’ra ocultá-la, que faria? le Calife de Silves, alors capitale de 'Al-Gharb.
Al-Mu Tamid
Les toits de Silves, au sud du Portugal, abritaient une société qui honorait ses danseurs, poètes et musiciens. Al-Gharb Andalus correspond à peu prés à la région de l’Algarve.
Un tout petit peu d’histoire : Suite aux attaques des peuples barbares au cours des siècles IIIe, IVe et Ve, et au démembrement de l’empire romain qui a suivit, les Wisigoths venus de l’Est (fuyant les Uns), furent un de ces peuples qui, entre eux, se sont partagé l’Europe. Ainsi l’année de 476 marqua la fin de l’empire romain d’Occident. Les Wisigoths s’emparèrent de la Péninsule Ibérique qu’ils gouvernèrent jusqu’en 712, car en 711 eut lieu l’invasion de la Péninsule par les Musulmans arrivés par le détroit de Gibraltar. Très vite ces derniers achevèrent la conquête de toute la région (sauf la partie nord-ouest où beaucoup de Wisigoths se sont réfugiés), qui devint une province de l’empire des califes Ommeyyades.
Pendant l’occupation, le Royaume mauresque de la Péninsule Ibérique brilla d'un grand rayonnement intellectuel, les arts et les sciences fleurissaient, et dans les palais on s'adonnait au plaisir de vivre.
Silves, devenu capitale de l’Al-Gharb a connu à la même époque ce même essor culturel. La ville est devenue un refuge pour de nombreux poètes, écrivains et musiciens, parmi eux, le poète Al-Mu Tamid, le calife de Silves (qui plus tard est devenu roi de Seville).
L’art poétique de ces auteurs du Gharb, exprimait une culture raffinée qui était valorisée et encouragée par les princes des « taifas ». Ainsi les poètes chantaient l’amour, la tolérance, la douceur de vivre, inspirés en partie par la douceur du climat et la richesse de ses terres irriguées.
Voici de jolies images du festival qui au mois d'août remet em mémoire ces lointains ancêtres (merci à celui qui les a publiées):
Excerto da carta militar 1/25000 referente ao estuário do Mira (IGeoE , 2001).
Le fleuve Mira prend sa source dans la montagne du Caldeirão, en Algarve, coule en direction au nord et se jette en douceur dans l’océan Atlantique, à mi-chemin entre Lisbonne et Sagres (la pointe la plus occidentale de l’Algarve), parcourant le parc naturel de « sudouest alentejano e costa vicentina » aux paysages protégés.
Le territoire traversé par le Mira correspond en conséquence à une partie de l’Alentejo, la province qui depuis le nord de l’Algarve, s’étend sur une grande partie du territoire.
Pour de nombreux visiteurs, l’Alentejo est vu comme la région la mieux préservée du Portugal ; beaucoup de ses habitants considèrent que le progrès l’a simplement oubliée !
Mais il est aussi dit que le Mira est un des fleuves les moins pollués d’Europe.
Il est difficile de ne pas admirer les verts et les bleus de ce courant d’eau à l’allure tranquille. Les tons d’émeraude servent de miroir aux étalages de végétation qui se succèdent le long de ses marges.
Au loin, l’azur où se reflète le ciel, a des mouvements d’écume du plus bel effet.
Un peu avant son embouchure, le fleuve Mira baigne Vila Nova deMilfontes, la ville blanche surnommée « princesse de l’Alentejo », défendue par son fort. Beaucoup du charme de cette ville est dû à la conservation de l’architecture traditionnelle de ses habitations, mais aussi à ce fleuve qui coule à ses pieds et qui l’embellit.
Vila Nova de Milfontes, Alentejo Portugal (HD)
Publié par Viagens e Ferias
Avant sa rencontre avec l’étendue marine, le Mira a encore le temps de nous surprendre, car ses plages fluviales rivalisent de beauté naturelle avec les plages de l’océan tout proche.
Le Portugal bénéficie d'une grande variété de reliefs auxquels sont associés les paysages contrastés et la diversité végétale et climatique.
Ainsi le Portugal a aussi son sommet enneigé, la Serra da Estrela, massif montagneux situé au centre du pays, dont le point le plus haut culmine à 1991 m d’altitude.
Voici la traduction libre que j'ai préparée de la légende du berger de la "Montagne de l´Étoile".
''Il était une fois un berger qui vivait dans un village lointain. Pour seul ami, il n'avait qu'un chien, qui pendant les longues nuits solitaires, se couchait à ses pieds, sans espérer ni le moindre geste, ni le moindre mot.
Ce berger souffrait d'un étrange malaise: il rêvait de joindre une montagne énorme qu'il voyait au loin, les terres qui existaient au-delà de la paroi rocheuse qui formait son horizon depuis qu'il était né. Et il passait de nombreuses nuits sans dormir, en méditant sur son désir sans limite. Une nuit, alors qu'il pensait être éveillé, il rêva qu'une étoile était descendue jusqu'à lui, et lui disait tout bas qu'elle le guiderait vers l'objet de ses désirs.
Le berger se réveilla encore plus agité et anxieux que jamais, et chercha dans le ciel la vérité dont il avait rêvé. Toutes les étoiles étaient comme d'habitude, immuables et éternelles en apparence. Mais il y avait aussi une qui lui a paru différente, plus à lui. Les jours passaient, et le désir du berger grandissait, lui donnant des courbatures, et de la fièvre qui lui brûlait dans la tête. La nuit, toutes les nuits, il cherchait dans le ciel son étoile différente. Et dans ses rêves, elle apparaissait très souvent provocante, sans cesse provocant son désir. Mais le désir est souvent si compliqué!!
Une nuit, soudain il se décida. Il rangea tout ce qu'il avait, et qui n'était rien, il appela son chien et il partit. En traversant le village, le chien aboya, et les vieux surent qu'il allait partir. Ils secouèrent la tête devant la folie de celui qui, ainsi, partait à l'encontre de la faim, du froid, de la mort. Mais le berger emportait avec lui toutes les richesses qu'il avait: la foi, la vie et une étoile.
Et le berger a marché pendant tant d'années, que le chien a vieilli et n'a pas supporté la marche. Il est mort une nuit, sur les chemins, et fut enterré au bord de la route qui avait appartenu à eux deux. Maintenant seul, avec son étoile, le pasteur continuait sa route, toujours en direction à la montagne, et à mesure qu'il marchait, la montagne continuait là, au même endroit et à la même distance. Il a enduré la famine et le froid, que les vieux avaient prédit.
Il franchit les rivières, gravit les champs verts et de champs desséchés, il marcha sur des rochers escarpés, traversa des villes pleines de murs et de gens, mais la montagne de ses désirs, il ne l'a jamais bannie de son coeur. Enfin, déjà vieux, il atteignit la paroi abrupte qui dès son enfance l'appelait. Il grimpa au point le plus haut de la montagne, et là, il put alors libérer le désir de votre coeur, désormais en paix et sans volonté.
L'horizon était vaste, si vaste et merveilleux, le sentiment de liberté si puissant que le berger, sans dire une parole, fit entendre dans sa poitrine, un hymne de louange semblable au vent qui hurle à travers les falaises rocheuses de silence. Le vieux berger s'installa, et avec lui, dans le ciel, son étoile.
Le roi du monde, a toutefois entendu parler du vieux berger et son étoile fantastique. Il envoya ses messagers à la montagne: il donnerait toutes les richesses du monte au berger en échange de sa petite étoile. Le berger écouta attentivement ce que roi lui a fait transmettre. Puis il regarda autour de lui. Que des pierres et des rochers. Une croûte de pain noir et un bol de lait constituaient ses repas. Sa seule distraction était le paysage là haut, infiniment pareil à lui-même et différent du monde. Sa seule amie, l'étoile.
Alors, tout doucement, comme celui qui connaît le secret des mots et la valeur de tous les choses possibles, il se tourna vers les messagers du roi du monde, et rejeta tous les trésors de la terre, choisissant la petitesse de son étoile.
Les années ont passé, et le vieil homme est mort. On l'enterra sous une butte escarpée, et étrangement, cette nuit-là, l'étoile brilla d'une lumière encore plus vive. Les bergers de la montagne remarquèrent cette différence, car eux aussi la reconnaissent parmi les autres, comme en certaines nuits, le vieil homme leur en avait parlé. Alors depuis, et pour toujours, la montagne a prit le nom de "Serra da Estrela" (Montagne de l'Étoile). Source: Educom et http://fernanda-ailhadascores.blogspot.com/
''Era uma vez um jovem pastor que vivia numa longínqua aldeia. Por único amigo tinha um cachorrinho, que nas longas noites de solidão se deitava a seus pés sem esperar nenhum gesto, nenhuma palavra. Sofria este pastor de uma estranha inquietação: cismava alcançar uma Serra enorme que via muito ao longe, as terras que existiam para lá da muralha rochosa que constituía o seu horizonte desde que nascera. E muitas noites passava em claro, meditando nesse seu desejo infindável.
Certa noite em que se julgava acordado, sonhou que uma estrela descia até a si e lhe segredava que o guiaria até ao objecto dos seus desejos.
Acordou o pastor mais inquieto e angustiado que nunca, e procurou no céu a verdade do que sonhara. Lá estavam todas as estrelas iguais a si mesmas, imutáveis e eternas aparentemente. Mas estava também uma que lhe pareceu diferente, a mais sua. Passavam-se os dias e o desejo do pastor aumentava, fazia doer-lhe o corpo, ardia-lhe febril na cabeça. De noite, todas as noites, procurava no céu a sua estrela diferente. E em sonhos ela aparecia-lhe muitas vezes desafiando-o, desafiando-lhe sempre a vontade. Mas a vontade por vezes é tão difícil!!
Uma noite, num ímpeto, decidiu-se. Arrumou tudo o que tinha e era nada, chamou o cão e partiu. Ao passar pela aldeia o cão ladrou e os velhos souberam que ele ia partir. Abanaram a cabeça ante a loucura do que assim partia à procura da fome, do frio, da morte. Mas o pastor levava consigo toda a riqueza que tinha: a fé, a vida e uma estrela.
E o pastor caminhou tantos anos que o cão envelheceu e não aguentou a caminhada. Morreu uma noite, nos caminhos, e foi enterrado à beira da estrada que fora de ambos. Só com a sua estrela, agora, o pastor continuou a caminhar, sempre com a serra adiante, e à medida que caminhava a serra ia sempre ali, no mesmo sítio e à mesma distância. Passou todas as fomes e frios que os velhos lhe tinham vaticinado.
Atravessou rios, galgou campos verdes e campos ressequidos, caminhou sobre rochedos escarpados, passou dentro de cidades cheias de muros e gente, mas a montanha dos seus desejos nunca a baniu do coração. Por fim, já velho alcançou a muralha escarpada que desde a infância o chamava. Subiu até ao mais alto da serra e ali pôde então largar o desejo do seu coração, agora em paz e sem desejo.
O horizonte era vasto, tão vasto e maravilhoso, a impressão de liberdade tão avassaladora que o pastor, sem falar, gritava dentro de si um hino de louvor que mais parecia o vento uivando por entre os penhascos rochosos de silêncio. Instalou-se o velho pastor e a sua estrela com ele, no céu.
O rei do mundo, porém, ouviu falar naquele velho pastor e na sua estrela fantástica. Mandou emissários à serra: todas as riquezas do mundo daria ao pastor em troca da sua pequena estrela.
O pastor ouviu com atenção o que lhe mandava dizer o rei. Depois, olhou em volta. Tudo eram pedras e rochedos. Uma côdea de pão negro e uma gamela de leite as suas refeições. A sua distracção a paisagem "infindamente" igual e diferente do mundo lá em cima. A sua única amiga, a estrela.
Suavemente, como quem sabe o segredo das palavras e o valor de todos os bens possíveis, virou-se para os emissários do rei do mundo e rejeitou todos os tesouros da terra, escolhendo a pequenez da sua estrela.
Passaram os anos e o velho morreu. Enterraram-no debaixo de uma fraga e nessa noite, estranhamente, a estrela brilhou com uma luz mais intensa. Os pastores da serra notaram essa diferença porque a reconheciam também entre as outras, pelo que o velho lhes contava em certas noites.
E desde então a serra passou a chamar-se, para sempre "Serra da Estrela".
La "Serra da Estrela" est la montagne la plus haute du Portugal continental (1.993 m), mas le mont Pico dans l'île du Pico des Açores culmine à 2.351 m d'altitude, il est donc la montagne la plus haute de tout le Portugal.
Avant de laisser Porto, pourquoi ne pas vous faire connaître de belles images de cette ville grâce aux caméras de la Red Bull Air Race ?
Porto (la seconde ville du Portugal) est situé sur la rive droite du fleuve Douro. Sur la rive gauche (au sud) face à la grande ville de Porto, se trouve Vila Nova de Gaia, ou simplement Gaia (c’est là qu’ on peut visiter les fameuses caves de Porto).
En 2007, 2008 et 2009, des épreuves de ce championnat ont eu lieu à Porto. Selon l’un des responsables de l’organisation, l’embouchure du fleuve Douro a été un de leurs plus beaux amphithéâtres.
Voici quelques explications trouvées sur Wikipedia sur ce championnat hallucinant :
…..Le Championnat du monde Red Bull de course aérienne (Red Bull Air Race World Series entre 2005 et 2008, Red Bull Air Race World Championship depuis 2009, en anglais) est un championnat international de course aérienne parrainé par la Fédération aéronautique internationale[1] mais organisé et géré par Red Bull.
La compétition consiste en des slaloms aériens, matérialisés par des plots en tissu gonflés d'air,que les pilotes parcourent à basse altitude en contre-la-montre. Les appareils sont des avions de voltige monomoteurs, principalement l'Edge 540 et le MXS-R. Les épreuves se déroulent généralement au-dessus de plans d'eau à proximité des grandes villes mais aussi sur des aérodromes ou des sites naturels. Elles attirent de grandes foules et sont accompagnées de spectacles aériens et diffusées dans le monde entier.
Les premières courses aériennes organisées par Red Bull eurent lieu en 2003 et 2004 mais le Championnat du monde ne fut créé qu'en 2005 et remporté pour la première fois par Mike Mangold. Les éditions 2006, 2007 et 2008 furent respectivement remportées par Kirby Chambliss, Mike Mangold et Hannes Arch. À chaque course, les concurrents marquent un nombre de points déterminé par leur position d'arrivée. En 2009, la distribution est de 12 points pour le vainqueur, 10 pour le deuxième, 9 pour le troisième et ainsi de suite jusqu'au onzième. Le pilote qui totalise le plus de points en fin de saison est sacré champion.