Le Portugal est tout de même synonyme de soleil et de ciel bleu, et je me remets à choisir des photos aux couleurs de l’azur.
Mais d'abord voici le petit restaurant de Olhão, une ville située à l’est de Faro, où nous avons déjeuné à midi en ce dimanche début juillet.
La spécialité est le poisson grillé. Il faut dire que Olhão est une ville de pêcheurs depuis toujours.
Assis en terrace, nous avons mangé à volonté les poissons de différentes espèces qu’on nous servait grillés, accompagnés de pommes de terre en robe des champs et de salade de tomates.
Quelques images des constructions cubiques de cette ville du sud du Portugal, sans oublier les façades typiques tapissées d’azulejos.
Il n’y a pas de plages à Olhão, car la ville est baignée par la lagune Ria Formosa. Il faut prendre les bateaux qui nous transportent vers les îles.
Voici le guichet, qui ne paie pas de mine, mais qui remplit sa fonction, car dans la petite cabine il y a quelqu’un qui nous vend des billets.
Il faut choisir sa destination, soit l’île d’Armona que nous avons visité auparavant, à quelques 15 minutes de distance, soit l’île Culatra, soit l’île du Farol vers laquelle nous nous dirigeons.
L’embarcadère remplit sa fonction aussi. Cela nous vaut une promenade d’environ 40 minutes de bateau en partant de Olhão.
Plusieurs bateaux traversent le canal de la Ria Formosa pour transporter les visiteurs sur les plages des îles. Sous un climat doux et beaucoup de soleil, il y a toute l’année des navettes regulières, mais tout de même plus fréquentes en été.
L’île du Farol doit son non au phare qui y est installé, car phare se dit farol en portugais. On l’aperçoit de loin à mesure que l’on s’approche de son île.
Avant d’arriver à l’île du Farol, on passe devant l’île de Culatra. Beaucoup de touristes avec un billet pour le Farol, descendent là, car ils croient qu’ils sont au bout du voyage, lorsque le bateau accoste au quai de la Culatra!
Ils se trompent d’île simplement. La pancarte en bois accrochée à l'embarcadère de l'île avec le nom “Culatra” est vraiment trop petite.
Cette fois c’est la bonne île, dominée par son phare peint en blanc.
L'île du Farol est au 2eme arrêt.
Des petites maisons blanches réhaussées de decorations variées et de couleurs claires parsèment l’étendue sablonneuse de l'île.
Il n’y a pas de voitures, seulement quelques vehicules à deux roues circulent par-ci par-là.
Et les couleurs de l’azur redoublent d’intensité lorsque nous rejoignons l’Atlantique.
Un arrêt au petit bar s’impose pour un petit café et des refraîchissements.
Nous retournons en disant au revoir au bar de la plage. Sans doute fatigué de surveiller le large, le phare blanc semble nous surveiller de près.
Il nous domine de tous les côtés!
Il est temps de revenir car il nous faut arriver à temps pour reprendre le bateau. Nous avons bien pris note des heures d’aller et retour.
En chemin, nous rencontrons cette ancre qui fait sa pause de yoga!
Voilà le bâteau qui vient nous chercher pour nous ramener à Olhão.
Pour la musique, les enfants du groupe folklorique de Faro, vidéo publiée par vaquerinho (merci pour le partage)