Le Temple A-Ma dédié à la déesse Matsu, construit en 1448 à Macao
Le Musée de l'Orient (Museu du Oriente) à Lisbonne (photo du net)
Je dois avouer que je n’avais aucune connaissance sur la tragédie des réfugiés qui, dans les années ’50 du siècle passé arrivaient par milliers à Macao, fuyant le nouveau régime chinois de la Republique Populaire de Chine.
Le territoire de Macao a été en grande partie crée par les portugais sur la mer (en gris)
Après avoir par hasard trouvé cette vidéo sur le net, je me rends compte que plusieurs sites expliquent les circonstances de ces vagues de réfugiés qui fuyaient, d'abord l'occupation japonaise, puis le nouveau regime de la République Populaire, et qui finalement trouvaient abri dans le territoire de Macao,
sous administration du Portugal depuis les années de 1553.
Je vous invite à écouter les explications en français, de ces tragiques années, dans un territoire si lointain:
sous administration du Portugal depuis les années de 1553.
Je vous invite à écouter les explications en français, de ces tragiques années, dans un territoire si lointain:
Macau refugee problem in 1958 publié parMichaelRogge
Je recopie les explications de la vidéo:
...Every month more than a thousand
Chinese entered the Poirtugese colony. Some by swimming. Many lost their lives.
Seen in this film are those who made it. Amongst them the blind. Western
charity institutions tried to help as well as the Macau government. By 1966
there were 80.000 refugees in Macau.
The commentary of this little known 16mm
film is spoken in French. From what I understand the commentary does not give
much more than what one sees. ....
Le film montre la société de Macao en 1958 lorsque les réfugés chinois étaient accueillis par les autorités portugaises qui faisaient de grands efforts pour leur fournir de la nourriture, de l'occupation, des petits métiers, l'enseignement scolaire pour enfants...
jusqu'aux difficultés qui surgissaient à mesure que les ressources du territoire diminuaient car le nombre de refugiés ne cessait de grandir.
De tous temps le désespoir frappe à la porte de pauvres êtres humains qui sont chassés de chez eux, par toutes sortes de circonstances. :(
Comme tu le dis, à chaque période ses tragédies humaines et ses déplacements de population à cause des guerres ou de la politique ! c'est vraiment terrible et quelle chance on a de ne pas subir cela.
RépondreSupprimerJe t'embrasse chère Angie, avec toute mon amitié
Bonjour ma douce amie du bout du monde
RépondreSupprimerEn un clic, sous le vent et le soleil de mon île, je viens te remercier pour ton gentil passage sur mon blog sur canalblog. J'ai transféré mon blog sur Eklablog sur Blogger que j'aime beaucoup comme plateforme.
Très belles tes photos ma douce amie du bout du monde, mais quelle tragédie dont je n'avais pas connaissance non plus, c'est terrible et que de gens souffrent et sont tués, oui quelle chance nous avons, il ne faut pas nous plaindre.
Je te souhaite un bel AM et un excellent dimanche gorgé de douceur, bonheur et soleil et surtout je te souhaite une bonne santé.
Gros bisous d'amitié de mon ti rocher.
Bonsoir ma douce,
RépondreSupprimerC'est vrai, en ce moment beaucoup de drames, des pauvres gens qui ne savent plus où aller.
Le monde est injuste, tout le monde devrait vivre dans son pays en paix.
Les hommes sont trop barbares.
Le monde va de plus en plus mal.
Passe une belle soirée et un merveilleux week-end, bisous.
moi non plus je n'en avais aucune connaissance :( je te souhaite une bonne soirée angie après une journée presque estivale biz
RépondreSupprimerJ'ai de vagues souvenirs d'enfance de cela même si l'actualité française tournait plus autour de l'Algérie. Et malheureusement la réalité des réfugiés fuyant ceci ou cela est toujours vivace.
RépondreSupprimersalut
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas cette période mais on ne peut pas tout connaître.
Et on a encore une période d'immigration explosive en ce moment et elle n'est pas prête à s'arrêter vu les guerres et les tyrans qui gouvernent en ce monde
bonne semaine
Uma cidade que me deu tudo - estabilidade, felicidade, carinho.
RépondreSupprimerE onde julgo passarei o resto da minha vida.
Boa semana
C'est très poignant et révoltant car quelle que soit l'époque, à travers ces vagues de population déracinées par la guerre, les dictatures et pléthore d'actes innommables, c'est l'humanité qui vacille et souffre. J'ai beaucoup de peine quand je vois les images des migrants et je ne sais que faire...
RépondreSupprimerTon article est passionnant et soulève le voile sur une tragédie méconnue qui résonne particulièrement aujourd'hui. Je te fais de gros bisous en espérant que tu ailles bien. Cendrine
l'histoire se répète dans le temps
RépondreSupprimerbises
quand ce ne sont pas les guerres, c'est la faim et bientot ce sera la soif ... on est bien trop nombreux sur cette planète et malheureusement on le sera encore plus ...
RépondreSupprimersalut
RépondreSupprimerplus on avance dans le temps plus il y a de réfugiés, on se demande quand est-ce que les hommes arrêteront de guerroyer?
Bonne journée
Bonjour ma douce,
RépondreSupprimerOuf, enfin du soleil, le fond de l'air est encore frais, mais la lumière c'est très agréable.
J'espère que tout boum chez toi.
Bonne fin de journée, une pluie de bisous.♥
J'adore Macau ;-)
RépondreSupprimer